Pour se conformer aux sanctions de Bruxelles, l’éditeur propose de fournir sous licence les informations garantissant l’interopérabilité des applications concurrentes avec les siennes. Les partisans des logiciels libres la jugent discriminatoire.
LONDRES Les propositions de Microsoft, suite aux sanctions de Bruxelles, font craindre le pire à la Free Software Foundation (FSF), l’association à l’origine du projet GNU sur lequel est basé le noyau Linux. La FSF s’intéresse non pas au volet concernant Media Player, mais à celui censé garantir l’interopérabilité des logiciels serveurs.
http://fr.news.yahoo.com/050131/7/48t8u.html
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